Une proposition de Clémentine Lepetit développée dans le cadre de la résidence de recherche-création « voir+changer le climat » en collaboration avec Stéphane La Branche, sociologue, un projet coordonné par Aurélie Chamaret et encadrée par Sandra Chamaret.
Sur chacune des tiges, les six pentagones représentent les moyens de transports, du plus clair à son sommet (le moins polluant), au plus sombre en bas (le plus polluant, la voiture individuelle). Chacune des pointes du pentagone signifie une fréquence d’utilisation : de tous les jours à jamais.
Le choix des couleurs s’est fait d’après une particularité qui entoure Grenoble : les montagnes et leurs neiges, du blanc au bleu plus foncé. Cette superposition en dégradé de couleurs rappelle aussi les cartes en relief, un autre clin d’œil alpin. Enfin, ces longues tiges qui s’élèvent évoquent les émanations que produisent les transports.
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